Covid-19 en France, Italie, Espagne et Allemagne

Mis à jour le 14/04/2021.

Pour mesurer la dynamique de l’épidémie :

Le 17/03/2020, au moment du confinement, a=0,297 (voir plus bas). Le nombre de cas est multiplié par 10 tous les 8 jours environ.

Le 01/09/2020, au moment de la rentrée, a=0,018. Le nombre de cas est multiplié par 10 tous les 128 jours environ.
Le 01/10/2020, a=0,022. Le nombre de cas est multiplié par 10 tous les 105 jours environ.
Le 01/11/2020, a=0,035. Le nombre de cas est multiplié par 10 tous les 66 jours environ.

Le 01/03/2021, a=0,006. Le nombre de cas est multiplié par 10 tous les 384 jours environ.
Le 01/04/2021, a=0,008. Le nombre de cas est multiplié par 10 tous les 288 jours environ.

14/04/2021



Dynamique sur les 2 dernières semaines : a=0,00699

Depuis le 04/12/2020 (minimum local pour les nouveaux cas en France)

Depuis le 17/08/2020 (2 semaines avant la rentrée de septembre)

17/03/2020 : Confinement en France

J’ai récolté les données brutes sur :
Santé publique France (France) => Carte
Ministero della Salute (Italie) => Données journalières / Carte
Ministerio de Sanidad (Espagne) => Carte / Carte
Robert Koch Institut (Allemagne) => Carte

Géodes : Santé publique France – Cartes, données et graphiques.
Des données complémentaires sont disponibles sur cette carte et sur CovidTracker.
En France, exceptionnellement, pendant la pandémie du Covid-19, l’INSEE diffuse le nombre de décès par jour et par département et compare ces données à celles de 2018 et 2019 : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4487854.

Conseil scientifique COVID-19.
Rapports sur la mobilité de la communauté (Google).
Suivi mondial des fermetures d’établissements scolaires (Unesco).
Carte des classes et écoles fermées pour cas de Covid (Stylos Rouges).

En Bretagne : ARS Bretagne.

Mise à jour de la centrale Alpha 3

Je viens de mettre à jour la centrale Alpha 3. Elle est le 3ème prototype d’une centrale d’acquisition LIBRE à destination des enseignants de physique-chimie. Elle est actuellement conçue autour d’une carte Arduino Mega 2560 (par conséquent, entièrement reprogrammable par le port USB). Les périodes d’échantillonnages sont adaptées à des phénomèmes relativement lents : elles varient du dixième de seconde à l’heure. Un mode manuel (acquisition pas à pas) est également disponible. Les données (horodatées) sont enregistrées au format texte sur une carte SD. Elles se récupèrent par l’intermédiaire d’un câble USB connecté à un ordinateur sous Linux, Windows ou Mac OS X. Les données brutes sont ensuite facilement exploitables dans un tableur ou avec Python (format CSV). La centrale fonctionne sur batterie ou sur secteur. Elle peut être également alimentée par le port USB. Elle intègre un certain nombre de capteurs dont une boussole qui mesure l’azimut, le roulis et le tangage ; un baro-altimètre qui mesure la pression absolue, la pression relative et l’altitude ; enfin un accéléromètre qui mesure les accélérations suivant 2 axes actuellement. Les mesures renvoyées par la boussole font l’objet d’un traitement informatique en temps réel afin de compenser certaines erreurs de mesures liées à des perturbations électromagnétiques à l’intérieur du boîtier.

Le logiciel de récupération et traitement des données est désormais développé en Python. Il permet d’effectuer plusieurs types de régression (linéaire, quadratique, cubique, quartique, exponentielle, logarithmique, puissance, trigonométrique) :

Réforme du lycée professionnel

Les différents éléments apparaissent au fur et à mesure sur cette page d’Éduscol. D’après un document de travail, sur les 14 familles de métiers potentielles, déployables en 3 vagues jusqu’en septembre 2021, le bac pro MV dépendrait de la famille « métiers de la maintenance », le bac pro TU dépendrait de la famille « métiers de la réalisation de produits mécaniques », le bac pro MELEC dépendrait de la famille « métiers du numérique et de la transition énergétique ».